- M’a permis de revoir la naissance de l’écologisme dans les années 60 – 70.
- La bombe atomique comme nouveau paradigme rendant possible « pour de vrai » l’annihilation de l’humanité (concept de supraliminarité chez G. Anders).
- Le désamorçage des critiques sans nuance du catastrophisme (millénarisme apocalyptique différent de catastrophes écologiques).
- L’institutionnalisation et le mainstreaming de l’écologisme dans les années 80 – 90.
- Le modèle anglo-saxon des villes en transition et, en France, de la décroissance à partir des années 2000.
- Le concept très intéressant de « disponibilité biographique » dans l’engagement / le militantisme écologique (il est plus aisé de s’engager lorsqu’on n’a pas encore d’emploi, de famille, d’enfant, de credits, bref, de contraintes extérieures).
- Une grande partie très instructive sur les mobilisations.
- …
Un livre très riche, à la lecture facile, que je ne saurais trop vous conseiller.